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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00251
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  • Tapuscrit

II. 251

se trouver à Sasuelo depuis une semaine environ,car  si Hélène ne se

trompait pas, et qu'il était effectivement revenu à Sasuelo juste après 

l'enterrement de leur ami, cela remontait au vingt-six ou au vingt-sept 

octobre ,  etil était doncmême  déjà là le jour de mon arrivée,  puisque je m'étais 

installé à l'hôtel dans la matinée du vingt-huit.,  Dde sorte et qu' il était doncsans doute  déjà là le jour de mon arrivéeet , de sorteJe ne regardais alorset qu'ilsans doute il était donc déjà là le jour de mon arrivée et m'avait vu m'installer qu'il m'avait

vuarriver m'installer à l'hôtel  selon toute vraisemblance, etje songeai alors  que c'était lui

en réalité qui s'était aché de moi pendant ces quelques jours,???   alors que,

dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais parallèlement

le même type de précautions pour éviter les parages de sa maison tant j'étais

persuadé qu'Hélène et lui s'y trouvaient depuis mon arrivée. Car c'était

en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, pour voir

Hélène oui -- même si j'avais tout fait pour que mon séjour s'achevât sans

que j'eusse pu me résoudre à la voir.                                                      , ne sortant de chez lui que la nuit quand il pouvait ne pas me trouver dehors 

 Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi était-il cette nuit ?

 Hélène avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur l'

oreiller, et elle me regardait, une main posée dans la mienne. Elle

avait éteint la lumière, et nous parlâmes encore un peu dans le noir, les

mains enlacées, tandis que je continuais à fumer à côté d'elle, regardant

l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait dans le noir et se

dilatait légèrement chaque fois que je tirais une bouffée. Ses yeux étaient

fermés   maintenant, les paupières détendues  et,sans les rouvrirles yeux, à voix basse, presque tout endormie,

elle m'engagea à venir la rejoindre dans le lit. J'éteignis lentement ma

cigarette et lui dis que je ne pouvais pas, non, qu'il fallait que je rentre

à l'hôtel, et je me penchai sur elle pour lui baiser doucement le front (je

te prends Le Monde, hein, dis-je, j'ai vu que tu l'avais amenée,) et je passai 

le prendre dans la cuisine avant de quitter la maison) .

II. 251

se trouver à Sasuelo depuis une semaine environ,car  si Hélène ne se

trompait pas et qu'il était effectivement revenu à Sasuelo juste après 

l'enterrement de leur ami, cela remontait au vingt-six ou au vingt-sept 

octobre   etil était doncmême  déjà là le jour de mon arrivée,  puisque je m'étais 

installé à l'hôtel dans la matinée du vingt-huit.,  Dde sorte  qu'il m'avait

vuarriver   selon toute vraisemblance, etje songeai alors  que c'était lui

en réalité qui s'était aché de moi pendant ces quelques jours, alors que,

dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais parallèlement

le même type de précautions pour éviter les parages de sa maison tant j'étais

persuadé qu'Hélène et lui s'y trouvaient depuis mon arrivée. Car c'était

en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, pour voir

Hélène oui -- même si j'avais tout fait pour que mon séjour s'achevât sans

que j'eusse pu me résoudre à la voir.                                                     

 Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi était-il cette nuit ?

 Hélène avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur l'

oreiller, et elle me regardait, une main posée dans la mienne. Elle

avait éteint la lumière, et nous parlâmes encore un peu dans le noir, les

mains enlacées, tandis que je continuais à fumer à côté d'elle, regardant

l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait dans le noir et se

dilatait légèrement chaque fois que je tirais une bouffée. Ses yeux étaient

fermés   maintenant  et,sans les rouvrir, à voix basse, presque tout endormie,

elle m'engagea à venir la rejoindre dans le lit. J'éteignis lentement ma

cigarette et lui dis que je ne pouvais pas, non, qu'il fallait que je rentre

à l'hôtel, et je me penchai sur elle pour lui baiser doucement le front (je

te prends Le Monde, hein, dis-je, j'ai vu que tu l'avais amenée,et je passai 

le prendre dans la cuisine avant de quitter la maison) .

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II. 251

se trouver à Sasuelo depuis une semaine environ,car  si Hélène ne se

trompait pas, et qu'il était effectivement revenu à Sasuelo juste après 

l'enterrement de leur ami, cela remontait au vingt-six ou au vingt-sept 

octobre ,  etil était doncmême  déjà là le jour de mon arrivée,  puisque je m'étais 

installé à l'hôtel dans la matinée du vingt-huit.,  Dde sorte et qu' il était doncsans doute  déjà là le jour de mon arrivéeet , de sorteJe ne regardais alorset qu'ilsans doute il était donc déjà là le jour de mon arrivée et m'avait vu m'installer qu'il m'avait

vuarriver m'installer à l'hôtel  selon toute vraisemblance, etje songeai alors  que c'était lui

en réalité qui s'était aché de moi pendant ces quelques jours,???   alors que,

dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais parallèlement

le même type de précautions pour éviter les parages de sa maison tant j'étais

persuadé qu'Hélène et lui s'y trouvaient depuis mon arrivée. Car c'était

en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, pour voir

Hélène oui -- même si j'avais tout fait pour que mon séjour s'achevât sans

que j'eusse pu me résoudre à la voir.                                                      , ne sortant de chez lui que la nuit quand il pouvait ne pas me trouver dehors 

 Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi était-il cette nuit ?

 Hélène avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur l'

oreiller, et elle me regardait, une main posée dans la mienne. Elle

avait éteint la lumière, et nous parlâmes encore un peu dans le noir, les

mains enlacées, tandis que je continuais à fumer à côté d'elle, regardant

l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait dans le noir et se

dilatait légèrement chaque fois que je tirais une bouffée. Ses yeux étaient

fermés   maintenant, les paupières détendues  et,sans les rouvrirles yeux, à voix basse, presque tout endormie,

elle m'engagea à venir la rejoindre dans le lit. J'éteignis lentement ma

cigarette et lui dis que je ne pouvais pas, non, qu'il fallait que je rentre

à l'hôtel, et je me penchai sur elle pour lui baiser doucement le front (je

te prends Le Monde, hein, dis-je, j'ai vu que tu l'avais amenée,) et je passai 

le prendre dans la cuisine avant de quitter la maison) .

II. 251

se trouver à Sasuelo depuis une semaine environ,car  si Hélène ne se

trompait pas et qu'il était effectivement revenu à Sasuelo juste après 

l'enterrement de leur ami, cela remontait au vingt-six ou au vingt-sept 

octobre   etil était doncmême  déjà là le jour de mon arrivée,  puisque je m'étais 

installé à l'hôtel dans la matinée du vingt-huit.,  Dde sorte  qu'il m'avait

vuarriver   selon toute vraisemblance, etje songeai alors  que c'était lui

en réalité qui s'était aché de moi pendant ces quelques jours, alors que,

dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais parallèlement

le même type de précautions pour éviter les parages de sa maison tant j'étais

persuadé qu'Hélène et lui s'y trouvaient depuis mon arrivée. Car c'était

en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu à Sasuelo, pour voir

Hélène oui -- même si j'avais tout fait pour que mon séjour s'achevât sans

que j'eusse pu me résoudre à la voir.                                                     

 Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi était-il cette nuit ?

 Hélène avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur l'

oreiller, et elle me regardait, une main posée dans la mienne. Elle

avait éteint la lumière, et nous parlâmes encore un peu dans le noir, les

mains enlacées, tandis que je continuais à fumer à côté d'elle, regardant

l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait dans le noir et se

dilatait légèrement chaque fois que je tirais une bouffée. Ses yeux étaient

fermés   maintenant  et,sans les rouvrir, à voix basse, presque tout endormie,

elle m'engagea à venir la rejoindre dans le lit. J'éteignis lentement ma

cigarette et lui dis que je ne pouvais pas, non, qu'il fallait que je rentre

à l'hôtel, et je me penchai sur elle pour lui baiser doucement le front (je

te prends Le Monde, hein, dis-je, j'ai vu que tu l'avais amenée,et je passai 

le prendre dans la cuisine avant de quitter la maison) .

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