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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00269
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II, 269

s'activer derrière la porte entrouverte de l'office. <#D1> (3) [D2] [ La table où j'étais assis se je me trouvai t s au fond de la pièce et était au fond de la pièce jouxtait une grande baie vitrée,
derrière laquelle j'apercevais une terrasse déserte qui s'étendait dans
l'obscurité . avec ça et là les ombres très sombres de troncs de tamaris. avec ça et là des ombres très sombres de tamaris ]

(2) [D1] Mon fils * dormait à l'étage, qui faisait des nuits complètes maintenant et
ne se réveillait jamais avant sept heures du matin depuis que nous étions
à Sasuelo * . ]
<#D2> J'étais assis au fond de la pièce et mon trouble perdurait J'avais sorti de l m a poche de mon manteau les quatre lettres que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je les
avais posées en vrac sur la table, les regardant pensivement en tournant
ma cuillère dans ma tasse de café. Je me demandais ce que je devais en faire
car je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, mais je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire du reste — tout du
moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo * .
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à
Sasuelo * .

Je remis les lettres dans l m a poche de mon manteau finalement, et et je me levai fina- lement je me levai , , quittai la salle à manger. Toutes les lumières étaient déjà éteintes
au rez-de-chaussée de l'hôtel de l'hôtel , à part une veilleuse jaunâtre qui brillait
dans un angle du plafond, et je passai prendre la clef de ma chambre à la
réception
. en traversant Je me rendis compte en revenant en passant dans le couloir en passant dans le couloir que la porte de la chambre des
patrons* était entrouverte et . j J e jetai un coup d'oeil à l'intérieur au passage en passant au passage , décou-
vrant pour la première fois l'intimité de leurs appartements, une chambre
toute simple en réalité, qui donnait de plain-pied sur la route. [ Les murs
étaient recouverts d'un papier peint à fleurs
assorti aux vilaines fleurs
brunes des rideaux,
et un lit massif doté d'une armature en bois très lourde occu-
pait le centre de la pièce. ] Une chemise de nuit rose était pliée proprement
sur l'oreiller, du lit massif qui occupait le centre de la pièce que j'apercevais dans l'entrebaillement de la pièce et tandis qu' et une paire de bas foncés pendait à l'abandon sur le dossier
d'une chaise. La patronne * était sans doute en train de faire sa toilette
dans la petite salle de bain que les patrons * avaient aménagés pour eux au
rez-de-chaussée. Je pris montai les escaliers et je m'apprêtais à rentrer dans regagner ma
chambre quand, tout au fond du couloir, je remarquai aperçus tout au fond du couloir pour la première fois

II, 269

s'activer derrière la porte entrouverte de l'office. [ La table où j'étais assis se je me trouvai t s au fond de la pièce et était au fond de la pièce jouxtait une grande baie vitrée, derrière laquelle j'apercevais une terrasse déserte qui s'étendait dans l'obscurité . avec ça et là les ombres très sombres de troncs de tamaris. avec ça et là des ombres très sombres de tamaris ]
Mon fils dormait à l'étage, qui faisait des nuits complètes maintenant et ne se réveillait jamais avant sept heures du matin depuis que nous étions à Sasuelo . ] J'avais sorti de l a poche de mon manteau les quatre lettres que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je les
avais posées en vrac sur la table, les regardant pensivement en tournant
ma cuillère dans ma tasse de café. Je me demandais ce que je devais en faire
car je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, mais je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire du reste — tout du
moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo * .
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à
Sasuelo * .

Je remis les lettres dans l a poche de mon manteau et je me levai fina- lement je me levai , , quittai la salle à manger. Toutes les lumières étaient déjà éteintes
au rez-de-chaussée de l'hôtel , à part une veilleuse jaunâtre qui brillait
dans un angle du plafond, et je passai prendre la clef de ma chambre à la réception . Je me rendis compte en revenant en passant dans le couloir que la porte de la chambre des
patrons* était entrouverte et j e jetai un coup d'oeil à l'intérieur , décou-
vrant pour la première fois l'intimité de leurs appartements, une chambre
toute simple en réalité, qui donnait de plain-pied sur la route. Les murs étaient recouverts d'un papier peint à fleurs assorti aux vilaines fleurs brunes des rideaux, et un
pait le centre de la pièce. Une chemise de nuit rose était pliée proprement
sur l'oreiller, et tandis qu' une paire de bas foncés pendait à l'abandon sur le dossier
d'une chaise. La patronne * était sans doute en train de faire sa toilette
dans la petite salle de bain que les patrons * avaient aménagés pour eux au
rez-de-chaussée. Je pris les escaliers et je m'apprêtais à rentrer dans ma
chambre quand, tout au fond du couloir, je remarquai pour la première fois

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II, 269

s'activer derrière la porte entrouverte de l'office. <#D1> (3) [D2] [ La table où j'étais assis se je me trouvai t s au fond de la pièce et était au fond de la pièce jouxtait une grande baie vitrée,
derrière laquelle j'apercevais une terrasse déserte qui s'étendait dans
l'obscurité . avec ça et là les ombres très sombres de troncs de tamaris. avec ça et là des ombres très sombres de tamaris ]

(2) [D1] Mon fils * dormait à l'étage, qui faisait des nuits complètes maintenant et
ne se réveillait jamais avant sept heures du matin depuis que nous étions
à Sasuelo * . ]
<#D2> J'étais assis au fond de la pièce et mon trouble perdurait J'avais sorti de l m a poche de mon manteau les quatre lettres que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je les
avais posées en vrac sur la table, les regardant pensivement en tournant
ma cuillère dans ma tasse de café. Je me demandais ce que je devais en faire
car je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, mais je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire du reste — tout du
moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo * .
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à
Sasuelo * .

Je remis les lettres dans l m a poche de mon manteau finalement, et et je me levai fina- lement je me levai , , quittai la salle à manger. Toutes les lumières étaient déjà éteintes
au rez-de-chaussée de l'hôtel de l'hôtel , à part une veilleuse jaunâtre qui brillait
dans un angle du plafond, et je passai prendre la clef de ma chambre à la
réception
. en traversant Je me rendis compte en revenant en passant dans le couloir en passant dans le couloir que la porte de la chambre des
patrons* était entrouverte et . j J e jetai un coup d'oeil à l'intérieur au passage en passant au passage , décou-
vrant pour la première fois l'intimité de leurs appartements, une chambre
toute simple en réalité, qui donnait de plain-pied sur la route. [ Les murs
étaient recouverts d'un papier peint à fleurs
assorti aux vilaines fleurs
brunes des rideaux,
et un lit massif doté d'une armature en bois très lourde occu-
pait le centre de la pièce. ] Une chemise de nuit rose était pliée proprement
sur l'oreiller, du lit massif qui occupait le centre de la pièce que j'apercevais dans l'entrebaillement de la pièce et tandis qu' et une paire de bas foncés pendait à l'abandon sur le dossier
d'une chaise. La patronne * était sans doute en train de faire sa toilette
dans la petite salle de bain que les patrons * avaient aménagés pour eux au
rez-de-chaussée. Je pris montai les escaliers et je m'apprêtais à rentrer dans regagner ma
chambre quand, tout au fond du couloir, je remarquai aperçus tout au fond du couloir pour la première fois

II, 269

s'activer derrière la porte entrouverte de l'office. [ La table où j'étais assis se je me trouvai t s au fond de la pièce et était au fond de la pièce jouxtait une grande baie vitrée, derrière laquelle j'apercevais une terrasse déserte qui s'étendait dans l'obscurité . avec ça et là les ombres très sombres de troncs de tamaris. avec ça et là des ombres très sombres de tamaris ]
Mon fils dormait à l'étage, qui faisait des nuits complètes maintenant et ne se réveillait jamais avant sept heures du matin depuis que nous étions à Sasuelo . ] J'avais sorti de l a poche de mon manteau les quatre lettres que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je les
avais posées en vrac sur la table, les regardant pensivement en tournant
ma cuillère dans ma tasse de café. Je me demandais ce que je devais en faire
car je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, mais je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire du reste — tout du
moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo * .
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à
Sasuelo * .

Je remis les lettres dans l a poche de mon manteau et je me levai fina- lement je me levai , , quittai la salle à manger. Toutes les lumières étaient déjà éteintes
au rez-de-chaussée de l'hôtel , à part une veilleuse jaunâtre qui brillait
dans un angle du plafond, et je passai prendre la clef de ma chambre à la réception . Je me rendis compte en revenant en passant dans le couloir que la porte de la chambre des
patrons* était entrouverte et j e jetai un coup d'oeil à l'intérieur , décou-
vrant pour la première fois l'intimité de leurs appartements, une chambre
toute simple en réalité, qui donnait de plain-pied sur la route. Les murs étaient recouverts d'un papier peint à fleurs assorti aux vilaines fleurs brunes des rideaux, et un
pait le centre de la pièce. Une chemise de nuit rose était pliée proprement
sur l'oreiller, et tandis qu' une paire de bas foncés pendait à l'abandon sur le dossier
d'une chaise. La patronne * était sans doute en train de faire sa toilette
dans la petite salle de bain que les patrons * avaient aménagés pour eux au
rez-de-chaussée. Je pris les escaliers et je m'apprêtais à rentrer dans ma
chambre quand, tout au fond du couloir, je remarquai pour la première fois

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