II, 277
P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné. J'ai ??? vouloir
que je me trouvai en présence du
patron
*
de l'hôtel accroupi sur le
carrelage
, une
Ce soir-là, après avoir couché
mon fils
*
, je descendis
dîner dans la
salle à manger de l'hôtel.
Le patron
*
servait lui-mê
l
m
me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à
l'occasion un coup de main
pour débarrasser
dans la salle
. Nous n'étions pas plus de deux ou trois
clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les
avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires
particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez
tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec
moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel
il jouait pendant
que je mangeais.
mais je ne les voyais
pas.
pratiquement jamais.
Mon fils
*
avait des horaires
En
général, je d
i
o
nais à manger à
mon fils
*
dans la
chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses
biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le
deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas
depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le
morceau de pain que je lui avais donné.
II, 277
P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné.
que je me trouvai en présence du
patron
*
de l'hôtel accroupi sur le
Ce soir-là, après avoir couché
mon fils
*
, je descendis
dîner dans la
salle à manger de l'hôtel.
Le patron
*
servait lui-mê
l
me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à
l'occasion un coup de main
pour débarrasser
. Nous n'étions pas plus de deux ou trois
clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les
avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires
particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez
tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec
moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel
il jouait pendant
que je mangeais.
mais je ne les voyais
pas.
En
général, je d
i
nais à manger à
mon fils
*
dans la
chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses
biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le
deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas
depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le
morceau de pain que je lui avais donné.
II, 277
P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné. J'ai ??? vouloir
que je me trouvai en présence du
patron
*
de l'hôtel accroupi sur le
carrelage
, une
Ce soir-là, après avoir couché
mon fils
*
, je descendis
dîner dans la
salle à manger de l'hôtel.
Le patron
*
servait lui-mê
l
m
me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à
l'occasion un coup de main
pour débarrasser
dans la salle
. Nous n'étions pas plus de deux ou trois
clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les
avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires
particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez
tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec
moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel
il jouait pendant
que je mangeais.
mais je ne les voyais
pas.
pratiquement jamais.
Mon fils
*
avait des horaires
En
général, je d
i
o
nais à manger à
mon fils
*
dans la
chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses
biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le
deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas
depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le
morceau de pain que je lui avais donné.
II, 277
P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné.
que je me trouvai en présence du
patron
*
de l'hôtel accroupi sur le
Ce soir-là, après avoir couché
mon fils
*
, je descendis
dîner dans la
salle à manger de l'hôtel.
Le patron
*
servait lui-mê
l
me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à
l'occasion un coup de main
pour débarrasser
. Nous n'étions pas plus de deux ou trois
clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les
avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires
particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez
tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec
moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel
il jouait pendant
que je mangeais.
mais je ne les voyais
pas.
En
général, je d
i
nais à manger à
mon fils
*
dans la
chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses
biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le
deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas
depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le
morceau de pain que je lui avais donné.