• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00277
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II, 277

P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné. J'ai ??? vouloir

que je me trouvai en présence du patron * de l'hôtel accroupi sur le carrelage , une

Ce soir-là, après avoir couché mon fils * , je descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron * servait lui-mê l m me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à l'occasion un coup de main pour débarrasser dans la salle . Nous n'étions pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel il jouait pendant
que je mangeais.

mais je ne les voyais pas. pratiquement jamais. Mon fils * avait des horaires En général, je d i o nais à manger à mon fils *
dans la chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le morceau de pain que je lui avais donné.

II, 277

P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné.

que je me trouvai en présence du patron * de l'hôtel accroupi sur le

Ce soir-là, après avoir couché mon fils * , je descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron * servait lui-mê l me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à l'occasion un coup de main pour débarrasser . Nous n'étions pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel il jouait pendant
que je mangeais.

mais je ne les voyais pas. En général, je d i nais à manger à mon fils *
dans la chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le morceau de pain que je lui avais donné.

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II, 277

P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné. J'ai ??? vouloir

que je me trouvai en présence du patron * de l'hôtel accroupi sur le carrelage , une

Ce soir-là, après avoir couché mon fils * , je descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron * servait lui-mê l m me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à l'occasion un coup de main pour débarrasser dans la salle . Nous n'étions pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel il jouait pendant
que je mangeais.

mais je ne les voyais pas. pratiquement jamais. Mon fils * avait des horaires En général, je d i o nais à manger à mon fils *
dans la chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le morceau de pain que je lui avais donné.

II, 277

P.2 que je connaissais pour y avoir déjà séjourné.

que je me trouvai en présence du patron * de l'hôtel accroupi sur le

Ce soir-là, après avoir couché mon fils * , je descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron * servait lui-mê l me à table, et sa femme
faisait la cuisine, qui lui donnait à l'occasion un coup de main pour débarrasser . Nous n'étions pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il d'autres, mais je ne les avais jamas vus, obligé
par la présence de mon fils d'avoir des horaires particuliers, car il
prenait ses repas à heures fixes et était assez tâtillon sur la question
de la ponctualité. Parfois, je le descendais avec moi dans la salle à
manger et je lui donnais un morceau de pain avec lequel il jouait pendant
que je mangeais.

mais je ne les voyais pas. En général, je d i nais à manger à mon fils *
dans la chambre, descendant à la cuisine de l'hôtel pour lui faire
réchauffer ses biberons et ses petits poits. Parfois, lorsqu'il avait
mangé, je le deescendas avec moi dans la salle à manger et il assistait
à mon repas depuis sa poussette, sage et perplexe, parfois pensif,
jouant avec le morceau de pain que je lui avais donné.

Mentions légales - Crédits - Code source