II, 278
J'étais retourné dans ma chambre et j'avais ouvert la fenêtre. Mon
fils
*
dormait derrière moi dans la pénombre, et la lumière de la lune
éclairait
son visage endormi. Il dormait, immobile, le souffle régulier,
son phoque
en peluche serré contre sa poitrine et la petite bouche en-
trouverte
entrait dans la pièce, qui éclairait sa petite bouche entrouevrte. Il
serré contre la poitrine et la sandale en plastique posé à ses côtés dans le lit, presque aussi grosse que lui.
II, 278
J'étais retourné dans ma chambre et j'avais ouvert la fenêtre. Mon
fils
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dormait derrière moi dans la pénombre, et la lumière de la lune
éclairait
son visage endormi. Il dormait, immobile, le souffle régulier,
son phoque
en peluche serré contre sa poitrine et la petite bouche en-
trouverte
entrait dans la pièce, qui éclairait sa petite bouche entrouevrte. Il
serré contre la poitrine et la sandale en plastique posé à ses côtés dans le lit, presque aussi grosse que lui.
II, 278
J'étais retourné dans ma chambre et j'avais ouvert la fenêtre. Mon
fils
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dormait derrière moi dans la pénombre, et la lumière de la lune
éclairait
son visage endormi. Il dormait, immobile, le souffle régulier,
son phoque
en peluche serré contre sa poitrine et la petite bouche en-
trouverte
entrait dans la pièce, qui éclairait sa petite bouche entrouevrte. Il
serré contre la poitrine et la sandale en plastique posé à ses côtés dans le lit, presque aussi grosse que lui.
II, 278
J'étais retourné dans ma chambre et j'avais ouvert la fenêtre. Mon
fils
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dormait derrière moi dans la pénombre, et la lumière de la lune
éclairait
son visage endormi. Il dormait, immobile, le souffle régulier,
son phoque
en peluche serré contre sa poitrine et la petite bouche en-
trouverte
entrait dans la pièce, qui éclairait sa petite bouche entrouevrte. Il
serré contre la poitrine et la sandale en plastique posé à ses côtés dans le lit, presque aussi grosse que lui.