II, 302
Il faisait nuit dehors et après le dîner, ce soir-là, je m'attardai
dans la salle à manger de l'hôtel à prendre le café. après le dîner ce soir-là j'étais seul dans
la pièce, et je
voyais le patron* s'activer derrière la porte entrouverte
des cuisinesde la cuisine de l'office.
Ma table était situéese trouvait au fond de la pièce et jouxtait une
grandegrande, derrière laquelle j'apercevais une terrsse déserte
qui
s'étendait dans l'obscurité, avec çà et là les ombres très sombres
de trons
de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais nullementpas du tout
inquiet de le laisser seul, sachant très bien qu'il faisait ses nuits
entières ??? plus encore depuis notre arrivée à Sasuelo, où il
s'endormant à la minute même
que je le posais tout emmailloté d'unedans sa grenouillère blanche dans le nid
douillet de son
petit Beaubourg. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi* et je
les avais posées sur la table, les regardant
pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais
ce qu'il fallait en faire,
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les
prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux
Biaggi*, je ne parvenais pas
à me résoudre à
les ouvrir, maintenant,nipas plus qu' à les édtruire, d'ailleurs, tout du moins
détruire celle
dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus,
maintenant , que les Biaggi sachent que je me trouvais à Sasuelo*.
Mais l'avais-je jamais voulu ?
II, 302
Il faisait nuit dehors et après le dîner, ce soir-là, je m'attardai
dans la salle à manger de l'hôtel à prendre le café. j'étais seul dans
la pièce, et je
voyais le patron* s'activer derrière la porte entrouverte
des cuisinesde la cuisine.
Ma table était située au fond de la pièce et jouxtait une
grande, derrière laquelle j'apercevais une terrsse déserte
qui
s'étendait dans l'obscurité, avec çà et là les ombres très sombres
de trons
de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais nullement
inquiet de le laisser seul, sachant très bien qu'il faisait ses nuits
entières depuis notre arrivée à Sasuelo, où il
s'endormant à la minute même
que je le posais tout emmailloté d'unedans sa grenouillère blanche dans le nid
douillet de son
petit Beaubourg. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi* et je
les avais posées sur la table, les regardant
pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais
ce qu'il fallait en faire,
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les
prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux
Biaggi*, je ne parvenais pas
à me résoudre à
les ouvrir, ni à les édtruire, tout du moins
détruire celle
dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus,
maintenant que les Biaggi sachent que je me trouvais à Sasuelo*.
Mais l'avais-je jamais voulu ?
II, 302
Il faisait nuit dehors et après le dîner, ce soir-là, je m'attardai
dans la salle à manger de l'hôtel à prendre le café. après le dîner ce soir-là j'étais seul dans
la pièce, et je
voyais le patron* s'activer derrière la porte entrouverte
des cuisinesde la cuisine de l'office.
Ma table était situéese trouvait au fond de la pièce et jouxtait une
grandegrande, derrière laquelle j'apercevais une terrsse déserte
qui
s'étendait dans l'obscurité, avec çà et là les ombres très sombres
de trons
de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais nullementpas du tout
inquiet de le laisser seul, sachant très bien qu'il faisait ses nuits
entières ??? plus encore depuis notre arrivée à Sasuelo, où il
s'endormant à la minute même
que je le posais tout emmailloté d'unedans sa grenouillère blanche dans le nid
douillet de son
petit Beaubourg. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi* et je
les avais posées sur la table, les regardant
pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais
ce qu'il fallait en faire,
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les
prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux
Biaggi*, je ne parvenais pas
à me résoudre à
les ouvrir, maintenant,nipas plus qu' à les édtruire, d'ailleurs, tout du moins
détruire celle
dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus,
maintenant , que les Biaggi sachent que je me trouvais à Sasuelo*.
Mais l'avais-je jamais voulu ?
II, 302
Il faisait nuit dehors et après le dîner, ce soir-là, je m'attardai
dans la salle à manger de l'hôtel à prendre le café. j'étais seul dans
la pièce, et je
voyais le patron* s'activer derrière la porte entrouverte
des cuisinesde la cuisine.
Ma table était située au fond de la pièce et jouxtait une
grande, derrière laquelle j'apercevais une terrsse déserte
qui
s'étendait dans l'obscurité, avec çà et là les ombres très sombres
de trons
de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais nullement
inquiet de le laisser seul, sachant très bien qu'il faisait ses nuits
entières depuis notre arrivée à Sasuelo, où il
s'endormant à la minute même
que je le posais tout emmailloté d'unedans sa grenouillère blanche dans le nid
douillet de son
petit Beaubourg. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi* et je
les avais posées sur la table, les regardant
pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais
ce qu'il fallait en faire,
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les
prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux
Biaggi*, je ne parvenais pas
à me résoudre à
les ouvrir, ni à les édtruire, tout du moins
détruire celle
dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus,
maintenant que les Biaggi sachent que je me trouvais à Sasuelo*.
Mais l'avais-je jamais voulu ?