II, 304
Il faisait nuit dehors, et après le dîner, ce soir-là, je pris le caféje m'attardais dans la salle à manger à prendre le café 
dans la salle à manger de l'hôtel. Il était
                        seul dans la salle et je voyais le patron* de
                            l'hôtel s'activer derrière la porte de la cuisine.  Ma
                    table , qui se trouvait au fond de la 
pièce, ??? la grande baie vitrée et j'apercevais la
                    terrasse déserte dans l'obscurité
                            qui se devinait
dans l'obscurité
derrière les parois de la baie vitréeverre. Mon fils* dormait à l'étage,n et 
je
                    n'étais nullement inquiet de le laisser seul, sachant qu'il faisait 
ses
                    nuits entières maintenant, dès que je l'avais posédepuis notre arrivée à Sasuelo*
s'endormant à la mintute même que je le poseposais dans son petit ???, qu'il
                            était épuisé par une ??? de grand air
                        centre Pompidou avec son phoque en peluche et sa sandale en plastique.
J'avais sorti de la poche de mon manteau les lettres que j'avais
                    
prises la veille dans la boîte aux lettres
                        des Biaggi*, et je les avais posées 
sur la
                    table, les regardant pensivement en tournant ma cuillère dans la 
tasse de
                    café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire etcar, si je 
n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même
                        ??? pouvoir les remettre à
                        aux
Biaggi* en mains propres, je ne parvenais
                        pas à me décider à les ouvrir. Je les remis dans ma poche, finalement, et me
                        levais, quittant la salle à manger. 
II, 304
Il faisait nuit dehors, et après le dîner, ce soir-là, je pris le café
dans la salle à manger de l'hôtel.  Ma
                    table  se trouvait au fond de la 
pièce,  et j'apercevais la
                    terrasse déserte dans l'obscurité
                            qui se devinait
derrière les parois de la baie vitrée. Mon fils* dormait à l'étage,n et 
je
                    n'étais nullement inquiet de le laisser seul, sachant qu'il faisait 
ses
                    nuits entières maintenant, dès que je l'avais posé
s'endormant à la mintute même que je le pose dans son petit , 
                        centre Pompidou avec son phoque en peluche et sa sandale en plastique.
J'avais sorti de la poche de mon manteau les lettres que j'avais
                    
prises  dans la boîte aux lettres
                        des Biaggi*, et je les avais posées 
sur la
                    table, les regardant pensivement en tournant ma cuillère dans la 
tasse de
                    café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire et, si je 
n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même
                         les remettre à
                        
Biaggi* en mains propres, 
II, 304
Il faisait nuit dehors, et après le dîner, ce soir-là, je pris le caféje m'attardais dans la salle à manger à prendre le café 
dans la salle à manger de l'hôtel. Il était
                        seul dans la salle et je voyais le patron* de
                            l'hôtel s'activer derrière la porte de la cuisine.  Ma
                    table , qui se trouvait au fond de la 
pièce, ??? la grande baie vitrée et j'apercevais la
                    terrasse déserte dans l'obscurité
                            qui se devinait
dans l'obscurité
derrière les parois de la baie vitréeverre. Mon fils* dormait à l'étage,n et 
je
                    n'étais nullement inquiet de le laisser seul, sachant qu'il faisait 
ses
                    nuits entières maintenant, dès que je l'avais posédepuis notre arrivée à Sasuelo*
s'endormant à la mintute même que je le poseposais dans son petit ???, qu'il
                            était épuisé par une ??? de grand air
                        centre Pompidou avec son phoque en peluche et sa sandale en plastique.
J'avais sorti de la poche de mon manteau les lettres que j'avais
                    
prises la veille dans la boîte aux lettres
                        des Biaggi*, et je les avais posées 
sur la
                    table, les regardant pensivement en tournant ma cuillère dans la 
tasse de
                    café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire etcar, si je 
n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même
                        ??? pouvoir les remettre à
                        aux
Biaggi* en mains propres, je ne parvenais
                        pas à me décider à les ouvrir. Je les remis dans ma poche, finalement, et me
                        levais, quittant la salle à manger. 
II, 304
Il faisait nuit dehors, et après le dîner, ce soir-là, je pris le café
dans la salle à manger de l'hôtel.  Ma
                    table  se trouvait au fond de la 
pièce,  et j'apercevais la
                    terrasse déserte dans l'obscurité
                            qui se devinait
derrière les parois de la baie vitrée. Mon fils* dormait à l'étage,n et 
je
                    n'étais nullement inquiet de le laisser seul, sachant qu'il faisait 
ses
                    nuits entières maintenant, dès que je l'avais posé
s'endormant à la mintute même que je le pose dans son petit , 
                        centre Pompidou avec son phoque en peluche et sa sandale en plastique.
J'avais sorti de la poche de mon manteau les lettres que j'avais
                    
prises  dans la boîte aux lettres
                        des Biaggi*, et je les avais posées 
sur la
                    table, les regardant pensivement en tournant ma cuillère dans la 
tasse de
                    café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire et, si je 
n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même
                         les remettre à
                        
Biaggi* en mains propres,