II, 306
Mon fils* était couché, [D1]et je
prenais le café dans la salle à manger.
Il faisait nuit dehors, <#D1>et je voyais la terrasse derrière qui
se devinait dans
l'obscurité derrière les parois de la baie vitrée. Mon fils* dormait
à l'étage, et je n'avais aucune crainten'étais nullement inquiet de le laisser tout seul, sachant que maintenant il faisait ses nuits entières maintenant et ne se réveillait plus une fois que je
l'avais posé
dans son petit centre Pompidou avec son phoque en peluche et
sa ???
vieille sandale en plastique. J'avais sorti de mon manteau les lettres que j'avais prises
dans la boîte aux
lettres des Biaggi* et je les avais
posées sur la table , les regardaisregardai en tournant la
cuillère de mondans
ma tasse.
II, 306
Mon fils était couché, et je
prenais le café dans la salle à manger.
Il faisait nuit dehors, et je voyais la terrasse qui
se devinait dans
l'obscurité derrière les parois de la baie vitrée. Mon fils* dormait
à l'étage, et je n'avais aucune crainte, sachant que maintenant il faisait ses nuits entières et ne se réveillait plus une fois que je
l'avais posé
dans son petit centre Pompidou avec son phoque en peluche et
sa
vieille sandale en plastique. J'avais sorti les lettres que j'avais prises
dans la boîte aux
lettres des Biaggi* et je , les regardais en tournant la
cuillère de mon tasse.
II, 306
Mon fils* était couché, [D1]et je
prenais le café dans la salle à manger.
Il faisait nuit dehors, <#D1>et je voyais la terrasse derrière qui
se devinait dans
l'obscurité derrière les parois de la baie vitrée. Mon fils* dormait
à l'étage, et je n'avais aucune crainten'étais nullement inquiet de le laisser tout seul, sachant que maintenant il faisait ses nuits entières maintenant et ne se réveillait plus une fois que je
l'avais posé
dans son petit centre Pompidou avec son phoque en peluche et
sa ???
vieille sandale en plastique. J'avais sorti de mon manteau les lettres que j'avais prises
dans la boîte aux
lettres des Biaggi* et je les avais
posées sur la table , les regardaisregardai en tournant la
cuillère de mondans
ma tasse.
II, 306
Mon fils était couché, et je
prenais le café dans la salle à manger.
Il faisait nuit dehors, et je voyais la terrasse qui
se devinait dans
l'obscurité derrière les parois de la baie vitrée. Mon fils* dormait
à l'étage, et je n'avais aucune crainte, sachant que maintenant il faisait ses nuits entières et ne se réveillait plus une fois que je
l'avais posé
dans son petit centre Pompidou avec son phoque en peluche et
sa
vieille sandale en plastique. J'avais sorti les lettres que j'avais prises
dans la boîte aux
lettres des Biaggi* et je , les regardais en tournant la
cuillère de mon tasse.